N° 006  -  Jean de la BRETE  - Mon Oncle et mon Curé.

Ce livre est tiré en 9 cahier(s) de 32 pages il comporte donc un total de 288 pages
soit 271 pages de texte , 8 page(s) d'entête et 9 page(s) en fin de livre.

Primo publication Nelson juillet 1910
in-16, 1fr25, 61 rue des Saints-Pères,
271 +VIII pp
Illustrateur : attribué à W. H. Barribal

-Liste de dos volumes à paraitre en 1910

Résumé catalogue Que faut-il lire ? Nelson 1923

Histoire d’amour toute simple, toute unie, mais contée avec une telle ingéniosité et une telle justesse de style qu’elle a trouvé sa place dans toutes les bibliothèques familiales.

L'avis de la critique bien pensante de l'époque

*J'en dirai autant de Mon oncle et mon curé par Jean de la Brète : c'est un vrai petit chef d'œuvre de grâce et, de malice. Reine de Lavalle élevée par une tante revêche n'a d'autre distraction que de taquiner le bon vieux curé qui lui sert de précepteur. Ses questions aussi naïves qu'intempestives mettent le pauvre homme dans le plus cruel embarras et lui font parfois perdre patience, mais la brouille n'est jamais de longue durée. Eprise de Paul de Contat, un bon gros réjoui qui n'a pourtant rien d'un héros de roman, Reine est au désespoir de le voir destiné à sa cousine Blanche de Pavol et elle perd sa gaîté et son exubérance. Heureusement, la sévère Blanche trouve un diplomate qui lui agrée mieux et Paul, consolé par une absence d'un an, ne demande pas mieux que d'épouser la petite Reine. Il en arrive souvent ainsi dans la vie réelle où les inconsolables ne sont pas légion. Sans convenir aux petites "oies blanches", ce charmant badinage peut être recommandé en toute sécurité.


P. Bruno, in.Romans-Revue 1911/05/15


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