N° 005  - Vicomte Eugène Melchior de VOGUË  - Les Morts qui parlent.

Ce livre est tiré en 15 cahier(s) de 32 pages il comporte donc un total de 480 pages
soit 444 pages de texte , 18 page(s) d'entête et 18 page(s) en fin de livre.

Primo publication Nelson juillet 1910
in-16, 1fr25, 61 rue des Saints-Pères,
444 +XVIII pp
Illustrateur inconnu jaquette non signée

-Liste de dos volumes à paraitre en 1910


Résumé catalogue Que faut-il lire ? Nelson 1923

En une succession de tableaux d’une vie et d’une vigueur admirable, en une collection de portraits d’une variété et d’un relief séduisants, l’auteur nous fait connaître les coulisses du Palais-Bourbon dans la dernière décade du XIXe siècle.

L'avis de la critique bien pensante de l'époque

**Le vicomte E. M. de Vogué a ressenti, lors de son passage au Parlement, l'impuissance d'un homme honnête et indépendant à se garder des compromissions et des petites lâchetés qui règnent au milieu des divers groupes. Il a voulu nous faire partager son dégoût pour la "cuisine" parlementaire et il a écrit Les morts qui parlent. A certains jours, les députés semblent plongés dans un "bain de haine " et oublient les intérêts du pays pour songer uniquement à la satisfaction de leurs rancunes. L'auteur trouve la raison de ce phénomène dans les vieilles querelles qui ont divisé le pays et armé les Français les uns contre les autres : alors ce sont les morts qui parlent par la bouche des vivants. A cette peinture où les ombres sont peut-être poussées trop au noir, l'auteur a entremêlé une intrigue sentimentale qui pourrait choquer certains lecteurs.


P. Bruno, in.Romans-Revue 1911/05/15


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