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27 avril 1853: Naissance à Vennecy (Loiret), fils d’un instituteur, Aimé Lemaître et de Désirée-Nathalie Ferrières son épouse,
buraliste de poste 12 octobre 1853 : Le père est nommé instituteur à Tavers, un village voisin. Sur décision du maire madame Lemaître sera bien vite nommée maitresse d’école des petites filles 1856 : A trois ans, il entre dans la classe de sa mère au milieu des petites filles 1857 : Les parents partent remplacer un ménage d’instituteurs à Saint-Jean de la ruelle dans la banlieue d’Orléans Les Lemaître reviennent à Tavers 1863 : Jules entre au petit séminaire de Sainte-Croix à Orléans 1867 : Il est renvoyé pour avoir lu sans permission le théâtre complet de Racine. Sur proposition de la voisine, madame Ménard de Franc parisienne qui passant l’été au château d’Equilly à Tavers a sympathisé avec Désirée, les parents décident d’envoyer le petit Jules, comme élève laïc au [Petit séminaire de Paris] collège Notre-Dame des Champs. Les jours de sortie il était reçut par les Ménard de Franc 1870 : C’est la guerre. Il voit passer, à Tavers les troupes française puis allemandes. Il voit des blessés. Juillet 1871 : baccalauréat 1871-1872: Il suit comme interne à l’institution Massin, les cours du lycée Charlemagne 4 juillet 1872 : Intègre l’Ecole Normale Supérieure 1875 : Agrégation 8 octobre 1875 : Nommé professeur de rhétorique au lycée du Havre.« Outre ses fonctions au lycée, Lemaître donnait un cours de littérature dans une pension de jeunes filles, la pension Gyselinck, ou plutôt deux cours : il y avait les grandes qui comptaient de quinze à seize ans et les petites de douze à quatorze ». Il semblerait d’après ses poèmes dans Médaillons qu’il ait été, en tout bien tout honneur, ému par ces jeunes filles. 1er octobre 1876 : Aimé Lemaître, le père, prend sa retraite 4 novembre 1878 : Première conférence à la demande de la municipalité du Havre 5 juillet 1879 : Au Havre, Lemaître rencontre chez les Siegfried, Charles Bigot, journaliste au XIXème Siècle [Le journal d’Edmond About] qui fait passer à son patron un article sur un recueil d’études et de discours d’Ernest Bersot, directeur de l’Ecole Normale. L’article est rapidement publié. août 1879 : Charles Bigot le présente, également, à Eugène Yung directeur de La Revue bleue qui lui demande des articles pour sa revue. « Une revue qui paye ses rédacteurs ».et lui commande un article qui paraitra sous le titre Le mouvement poétique en France, le 9 aout. 1879-1880 : Sur l’entremise d’un de ses élèves, Henri Fauvel, il est invité par Flaubert. Il le rencontre, par trois fois, à Croisset, et déjeunera avec lui. Ils sympathiseront, Lemaître en tirera deux articles. Flaubert interviendra auprès de Maupassant qui « sinécurise » au Ministère de l’Instruction publique pour trouver un poste à Lemaître qui s’ennuie au Havre. Grace à l’aide de Graziani, Chef du bureau du personnel à l’enseignement secondaire .Lemaître est nommé par un arrêté du 26 avril 1880, maître de conférences à l’Ecole supérieure des lettres d’Alger Il semblerait que si l’enseignement papillonnant de Lemaître a été de nature à enthousiasmer ses élèves, il n’ait pas été considéré avec autant de compréhension de la part de l’inspection académique qui confrontée à sa créativité lui manifeste parfois de la réticence. Myriam Harry cite quelques rapports d’inspection : « Les familles ont exprimé des craintes sur la discipline de Monsieur Lemaître… Il prend ses fonctions trop à l’aise…Nommé à l’Ecole supérieure d’Alger, il part sans laisser de regrets… » mai 1880 : Arrivée à Alger. La faculté des lettres est installée dans un provisoire passablement vétuste. Peu sensible au charme de l’exotisme il ressent le mal du pays. Mi juillet 1880 : après avoir fait passer les examens il s’embarque pour la France. Eté 1880 : Les parents Lemaître ont acheté une maison en contrebas de la route sur le coteau de Guignes à 500 mètres de l’école où ils ont travaillé. Cette maison est appelée Maison Charles du nom du physicien qui y a vécu. Elle voisine avec le Château d’Equilly où résident les Ménard de Franc chez qui la Paulette Deschalets passe ses vacances, elle va sur ses dix sept ans et souhaite s’échapper du couvent des Visitandines de Neuilly où elle fait ses études. Elle à une bonne dote et la fraicheur de son âge. Jules succombe peut-être un peu vite. Un mariage est prévu pour les vacances scolaires de l’année suivante quand Jules reviendra d’Alger. Octobre 1880 : Un volume de poèmes Les Médaillons est publié chez Lemerre Novembre 1880 : Retour à Alger. La faculté s’est installée dans des locaux modernes. Lemaître reçoit la visite de Maupassant qui à bien du lui proposer quelques sorties crapuleuses. Eté 1881 : Retour à Tavers, Paulette n’y est plus elle à été renvoyée dans son couvent pour quelques tentatives de coquineries. Notre amoureux va trouver la mère supérieure et force le destin Octobre 1881 : Mariage avec Paulette Deschalets, dans la chapelle du couvent de Sainte-Foy à Neuilly. Le couple s’accorde mal pour une multitude de raisons. Myriam Harry (une biographe de Lemaitre] nous en brosse à traits vigoureux une savoureuse Harlequinade. Bref, Paulette est atteinte du syndrome de la chèvre de Monsieur Seguin, elle rêve de découvertes et d’herbe tendre. Novembre 1881 : Nouveau retour à Alger. Jules découvre l’&&&&&œuvre d’Alexandre Dumas et néglige un peu Paulette. 1882 : Paulette à une liaison extraconjugale, malheureusement rendue publique par un accident de la circulation qui fait désordre à Alger. Petit bras, Jules ne propose même pas un duel pour laver son honneur. Le recteur demande au ministre le remplacement du professeur. 28 février 1882 : Jules est nommé Chargé de cours à la chaire de littérature française de la Faculté des lettres de Besançon. 5 Mars 1882 : Jules et Paulette quittent définitivement Alger. Comme le rapporte Martino, Le directeur de l’Ecole lui dédia ces quelques lignes : « Le souvenir de cet esprit délicat, sensible à l’extrême, ironique et charmant, restera longtemps cher aux auditeurs qui se pressaient à l’avance dans la petite salle où ses leçons consacraient les débuts d’une Ecole de Lettres. » Arrivés a Marseille ils se séparent Jules part travailler à Besançon et Paulette regagne son couvent. Jules écrit Une méprise qu’il envoie à Lemerre pour joindre aux Petites orientales qui devaient paraitre en octobre. 14 juillet 1882 : Décoré des palmes académiques Eté 1882 : Vacances à Tavers Rentrée 1883 : Liaison avec la femme d’un professeur de géographie bisontin. Paulette retrouve Jules, La vie reprend son cour. 12 février 1883: Thèse française de Doctorat, La comédie après Molière et le théâtre de Dancourt. Jugée un peu légère par le jury qui, cependant, lui délivre le titre en raison de sa notoriété journalistique. Thèse latine : Quomodo Cornelius noster aristotelis p&&&&&œticam sit interpretatus. 1884 (3) : Nommé professeur à la Faculté de lettres de Grenoble. La vie continue son cours. Paulette est enceinte. Grossesse difficile. L’enfant survit trois semaines à sa mère. Octobre 1884 :Lemaitre quitte Grenoble après avoir demandé sa mise en congé 1884 : Il renonce à l'enseignement pour se consacrer exclusivement à la littérature démissionne et s’installe à Paris dans un petit appartement au troisième étage, rue Gay-Lussac. Il est présenté en même temps qu’Anatole France, au salon de Madame Arman de Caillavet et lui adresse quelques lettres dans lesquelles il fait sa cour : « Madame, je vous envoie une petite brochure qui est ma thèse de doctorat. Elle à été écrite trop vite, mais il s’agit d’une époque que vous aimez et dont vous êtes un peu. Vous recevrez aussi une histoire de martyr qui a la prétention d’être très philosophique. Je ne sais pas au juste pourquoi je vous envoie ces bagatelles. Je crois que c’est tout simplement parce que cela me fait plaisir, parce que je suis très heureux que vous me lisiez. Cela veut peut-être dire que je vous aime beaucoup. Je me hâte de corriger ce que cette déclaration a de malséant par tous les respects qui conviennent. » Elle le trouve charmant. C’est elle qui insistera pour qu’il se rende à « la redoute », sorte de bal masqué organisé par Arsène Houssaye (ancien administrateur de la Comédie française et président de la Société des gens de lettres en 1884). Mi-carême 1885 : A la "redoute", il rencontre la comtesse de Loynes , une demi-mondaine qui a réussi. Coup de foudre, dès le lendemain, il est invité chez elle, 28 rue de l’Arcade (Elle y réside depuis 1865). Il s’y rend. Une idylle se tisse. Son salon était connu du Tout-Paris. Elle y recevait tous les jours entre 5 et 7 heures. On y vit Clemenceau, Dumas fils, Barrès, le général Boulanger... 23 novembre 1885 : Lemaitre prend la suite de J. J. Weiss, décédé ou retraité, pour tenir la chronique de critique théâtrale « Feuilleton [hebdomadaire] » : La Semaine dramatique au Journal des Débats. A suivre... |
décembre 1904 : Nécrologie M. Gabriel Syveton est mort dans des circonstances dont le mystère ne sera, sans doute, jamais dissipé. C'est la veille de sa comparution devant la Cour d'assises, pour avoir souffleté de général André à la Chambre [cf l'Affaire des fiches], que le député de Paris à été trouvé étendu sans vie sur le parquet de son cabinet de travail. Les obsèques de M. Gabriel Syveton ont été célébrées samedi dernier au milieu d'une grande affluence. L'état major du parti nationaliste et de l'opposition y assista. Un seul discours à été prononcé sur la tombe de M. Syveton au cimetière Montparnasse: c'est celui de M. Jules Lemaitre. in La Vie illustrée N°322 du 16 décembre 1904, page176 |
Collaborations de presse : Le XIXème Siècle : 5 juillet 1879 La Revue bleue : 9 août 1879-1895 Le Journal des Débats : 1884-1896 « Feuilleton » : La Semaine dramatique [à partir du 23 novembre 1885, prend la suite de Jean Jacques Weiss décédé] Lien Gallica Le Figaro: 1885-1897 : « Figurines » [C'est le nom de la chronique] Le Temps : 1889-1890 : « Billets du matin » [bi hebdomadaires] [à partir du 24 avril 1889, sous la signature T.] Lien Gallica La Revue des Deux Mondes : 1894-1898, Revue dramatique début 1894 (début après l’ainée, avril 98, à la demande de Brunetière une chronique mensuelle) 1897-01-01 pp217 à 228 : Lorenzaccio à La enaissance ; Idylle tragique au théâtre du Gymnase Lien Gallica 1897-02-01 pp693 à 704 : Jean-Gabriel Borkmann de M. H. Ibsen. L’étranger à L’Odéon Lien Gallica 1898-07-01, pp238 à243 : Papa Lebonardo à la Renaissance ; La Confidente aux Escholiers Lien Gallica 1898-08-01, pp713 à 724 : Deux tragédies chrétiennes : Blandine et l’Incendie de Rome. Lien Gallica 1898-07-01, pp214 à 237 : L’épilogue de Frédégonde de Monsieur Dubout, critique parue le 1er juin 1897, droit de réponse de M. Dubout Lien Gallica La Revue de Paris : 1898 L'Echo de Paris : 1898-1903 Les Annales de la patrie française : 1899-1903 L'Action française Catalogue chronologique 1872 : Entre à l' Ecole Normale Supérieure 1874c: Claude, drame en 5 actes inachevé cf MH 1875 : Reçu au concours de l' agrégation. 1876 : Début d'écriture de Un salon qui ne sera édité qu’en 1924 1878-1879 : Conférences à la demande de la municipalité du Havre : sur L’imitation de Jésus, Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère, Vauvenargues, Joubert. 1878-1879 : Suite des conférences, André Chénier, Lamartine, Hugo, Musset, Sainte-Beuve, Vigny, Gautier, Banville, Laprade, Baudelaire, Leconte de Lisle et les Parnassiens. 5 juillet1879 : Premier article, à propos d’Ernest Bersot, Directeur de l’Ecole Normale Supérieure, pour le XIXème Siècle. 9 août 1879 : Article Le mouvement poétique en France in Revue bleue 11 octobre 1879 : Article Gustave Flaubert, première partie; in Revue bleue 18 octobre 1879 : Article Gustave Flaubert, deuxième partie, in Revue bleue 1879 : Etude sur Flaubert, in Revue politique et littéraire (N° d’octobre) 5 février 1880 : Nécrologie d’Ernest Bersot, in Revue bleue [reprise d’un article rédigé pour Le Journal du Havre du 3 février] 1880 : Brochure sur l`Imitation de Jésus-Christ, in Revue de l’Ecole d’Alger 21 août 1880 : Leconte de Lisle, in Revue Bleue octobre 1880 : Les Médaillons, poésies, Lemerre, 190 pp, (1930, Les bibliophiles havrais, 153pp) Lien Gallica 1881 : Sully-Prudhomme, in Revue bleue 1882 : La Comédie après Molière et le théâtre de Dancourt, thèse, Faculté des lettres de Paris, Hachette, 247pp Lien Gallica 1882 : Quomodo Cornelius noster Aristotelis p½ticam sit interpretatus, thèse Faculté des lettres de Paris, 76pp 1883 : Petites Orientales, poésies 1883 : Alphonse Daudet, in Revue bleue du17 avril 1884 : Maupassant, in Revue Bleue 1885 : Professeurs au Collège de France : M. Ernest Renan, in La Revue bleue du 10 janvier 1885 : La jeunesse sous le second empire et sous la troisième république, in La Revue bleue du 13 juin pp738 à 740 ?* 1885 : Article in Le Journal des débats du 22 novembre 1886 : Sérénus, histoire d'un martyr. Contes d'autrefois et d'aujourd'\hui, (1905, Société des amis des livres, 66pp) Lien Gallica 1886 : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 1ère série, Lecène et Oudin, 355pp [Les articles publiés dans les contemporains ont souvent été retouchés] Lien Gallica 1886 : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 2ème série, Lecène et Oudin, 330pp Lien Gallica 1887 : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 3ème série, Lecène et Oudin, 367pp Lien Gallica 1889 : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 4ème série, Lecène et Oudin, 342pp Lien Gallica 18xx : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 5ème série, Lecène et Oudin, 354pp Lien Gallica 1896 : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 6ème série, Lecène et Oudin, 398pp Lien Gallica 1899 : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 7ème série, Lecène et Oudin, 364pp Lien Gallica 1924 : Les Contemporains. Études et portraits littéraires, 8ème série, Boivin, 359pp Lien Gallica 1888 : Causerie littéraire, in Revue bleue du 18 août 1888 : Quelques poètes, in Revue bleue du 29 septembre 1888 : Corneille et la poétique d’Aristote : Les trois discours, les préfaces et les examens, Lecène et Oudin, 85pp Lien Gallica 1888 : Impressions de théâtre, première série, Société française d’imprimerie et de librairie, 354pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 2ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 392pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 3ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 390pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 4ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 356pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 5ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 403pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 6ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 392pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 7ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 386pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 8ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 348pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 9ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 396pp Lien Gallica 1888-1898 : Impressions de théâtre, 10ème série, Société française d’imprimerie et de librairie, 394pp Lien Gallica 1889 : Révoltée, pièce en 4 actes, Paris, Théâtre de l'\Odéon, 9 avril 1889, Calmann-Lévy [Jouée 35 fois puis reprise pour 25 représentations au Vaudeville] Lien Archive 1889 : Billet du matin [sur Jeanne d’Arc*, in Le Temps du 13 mai, [Morceaux choisis, p211 à 213] Lien Archive 1889 : Billet du matin, in Le Temps du 30 mai,[Morceaux choisis, p213 à 215] Lien Archive 1889 : Billet du matin, in Le Temps du 13 août, [Morceaux choisis, p215 à 218] Lien Archive 1889 : Billet du matin : [à propos de naturalisation*, Le Temps du 30 avril, page 2] Lien Gallica 1889 : Billet du matin : [Le jour du premier mai Lemaître cultive l’haïku], Le Temps du 1er mai, page 2, [maintenant que vous connaissez le chemin je vous laisse aller chercher les autres] Lien Gallica 1890 : Critique de La Bête humaine in Le Figaro du 8 mars, page 1 Lien Gallica 1890 : Le Député Leveau, comédie en 4 actes, Théâtre du Vaudeville, 16 octobre 1890, Calmann-Lévy Lien Archive 1890 : Critique in Le Gaulois du 17octobre, pages 2 et 3 Lien Gallica 1890 : Dix contes : Charité, Hellé, Myrrha, Lilith, L’imagier, Les amoureux de la princesse Mimi, Sophie de Montcernay, Melie, Képis et cornettes, La chapelle blanche, Lecène et Oudin, 241pp Lien Archive 1891 : In Le Gaulois du 21 mars : « Après cette &œuvre de Lemaître, on demande à tous les échos, si dorénavant on doit mettre le maître en deux mots. »page 1+ critique complète page 3 Lien Archive 1892 : L'Imagier, études et portraits contemporains Lien Gallica 1893 : Les Rois, drame en 5 actes, Théâtre de la Renaissance*, le 9 novembre 1893, Calmann-Lévy [Commandée pour son théâtre par Sarah Bernhardt, elle jouera le rôle de la princesse Wilhelmine, 32 représentations] Lien Archive 1893 : Les Rois, roman, Calmann-Lévy, 356 pp 1893 : Flipote, comédie en 3 actes, Paris, Théâtre du Vaudeville, 22 février 1893, Calmann-Lévy Lien Archive 1894 : Myrrha 1894 : Le petit Racine, chronique « Figurine » dans Le Temps 1894 : La semaine dramatique, in Journal des débats du 14 mai 1894 : Début de la chronique Le feuilleton dramatique à La Revue des Deux Mondes 1895 : L'âge difficile, comédie en 3 actes, Paris, Théâtre du Gymnase, 29 janvier 1895, Calmann-Lévy Lien Archive 1895 : Le Pardon, comédie en 3 actes, Comédie-Française, 11 février 1895, Calmann-Lévy Lien Archive 1896 : La Bonne Hélène, comédie en 2 actes, en vers, Théâtre du Vaudeville, 31 janvier 1896 Lien Archive 1896 : Les snobs, discours à la séance publique annuelle des cinq académies Lien Académie française 1898 : L'Aînée, comédie en 4 actes et 5 tableaux, Théâtre du Gymnase, 6 avril 1898, Calmann-Lévy Lien Archive 1899 : La Franc-maçonnerie, A. Leret 1899 : La patrie française, Discours-programme, 13 novembre, La patrie française, 32pp Lien Gallica 1900 : Contes blancs : la Cloche ; la Chapelle blanche ; Mariage blanc 1901 : Opinions à répandre, Société française d’imprimerie et de librairie, 390pp [publication dans Le Figaro en 1897] 1901 : Comment passer à l’action, Conférence du 15 mai, 14pp Lien Gallica 1902 : Conférence du 1er décembre à Nancy, Crépin-Leblond, 62pp 1902 : La république intégrale, Bureaux de la Patrie Française, 45pp Lien Gallica 1905 : La Massière, comédie en 4 actes, Théâtre de la Renaissance, 11 janvier 1905, Calmann-Lévy Lien Archive 1905 : Bertrade, comédie en 4 actes, Théâtre de la Renaissance, 4 novembre 1905,(Ne figure pas dans l’édition Calmann-Lévy du théâtre de J.L.) 1905 : En marge des vieux livres, première série contes, Société française d’imprimerie et de librairie, 284pp Lien Gallica 1907 : La princesse de Clèves, Comédie en trois actes, d’après Mme de La Fayette, Calmann-Lévy [« J’ai écrit cette pièce pour madame Sarah Bernhardt quand elle était directrice du théâtre de la Renaissance. Je ne l’ai proposée nulle part ailleurs. Une bonne moitié du texte est empruntée littéralement à Mme de Lafayette. » J. L ;] Lien Archive 1907 : En marge des vieux livres, deuxième série contes, Société française d’imprimerie et de librairie, 290pp 1907 : Article in Les Annales politiques et littéraires du 3 février Lien Gallica 1907 : Jean-Jacques Rousseau, Calmann-Lévy, 360pp Lien Gallica 1907 : La littérature française en pays latin, 2 volumes 1907 : Lettre au Gaulois sur sa participation à la guerre de 1870, du 8 septembre Lien Gallica 1908 : Jean Racine, Calmann-Lévy, 328pp Lien Gallica 1909 : Lettres à mon ami 1910 : Fénelon 1910 : Le Mariage de Télémaque, Opérette en 5 actes et 6 tableaux, musique de Claude Terrasse, livret écrit avec Maurice Donnay, Paris, Opéra-comique, 4 mai 1910 1911 : Discours royalistes 1908-1911, Nouvelle librairie nationale, 70pp Lien Gallica 1912 : Châteaubriand Lien Gallica 1912 : Kismet, conte arabe d'Edward Knoblauch, texte français de Jules Lemaître, Paris, Théâtre Sarah Bernhardt, 18 décembre 1912 1913 : Les Péchés de Sainte-Beuve 1914 : La Vieillesse d'Hélène. Nouveaux contes en marge Décès le 5 août 1914 1921 : A.B.C., Mame, 54pp, illustrations de Job Lien Gallica 1924 : Un salon (posthume) |